Durant les quatre ans passés dans une prison du Panama pour un crime qu’elle jure ne pas avoir commis, Sandra Mallon a survécu à deux émeutes, été témoin d’agressions sanglantes et été victime d’empoisonnement.
«Tous les soirs, durant quatre ans, j’ai souhaité ne pas me réveiller le lendemain. Tu te demandes si ça va finir un jour. Tu vois la lumière, mais tu es incapable de l’atteindre. Tu t’en fous de mourir», résume-t-elle dans une entrevue réalisée au journal la semaine dernière.
Vous pouvez lire l’intégral de cet article dans Le Canada Français, édition du 13 mars 2014.