La saison des apiculteurs tire à sa fin et les statistiques ne sont pas au rendez-vous. Un printemps froid, beaucoup de pluie et la chaleur extrême auront convaincu les abeilles de demeurer à l’intérieur des ruches. Résultat: une production en deçà des attentes.
«C’est moins bon que l’an passé», mentionne spontanément l’apiculteur Richard Dagenais. Pour que la production de miel soit abondante, plusieurs critères entrent en jeu. Les conditions météorologiques arrivent en tête. Un printemps froid retarde le développement des abeilles.
La pluie joue également un rôle décisif en empêchant les abeilles de sortir à l’extérieur de la ruche pour récolter de la nourriture. De son côté, la chaleur extrême (35 degrés Celcius et plus) force les petites ouvrières à consacrer leur énergie à la recherche d’eau plutôt qu’à ramener du nectare à l’intérieur de la ruche.
La suite de l’article en page A-5 du journal Le Canada Français du 27 août.
