Selon la Société canadienne du cancer, environ 1 Canadien sur 8 sera atteint d’un cancer de la prostate au cours de sa vie. Bien que le pronostic de survie soit en constante amélioration au pays, 12 Canadiens en moyenne succombent encore quotidiennement à cette forme de maladie, de sorte que le dépistage s’avère particulièrement important. Mais quel est le moment approprié pour subir un examen? Voici quelques pistes pour vous guider.
Le début des examens préventifs
Par souci de prudence, les examens préventifs sont recommandés à partir de l’âge de 50 ans. Ceux qui présentent un risque plus élevé, notamment à cause d’antécédents familiaux ou de prédispositions liées à leur origine ethnique, devraient plutôt envisager de tels examens à compter de 45 ans. Discutez avec votre médecin des facteurs de risque qui vous concernent afin de déterminer quel est le meilleur moment pour agir.
Comme pour toute forme de cancer, un diagnostic précoce permet d’améliorer l’efficacité du traitement et de diminuer le danger de propagation des cellules cancéreuses dans d’autres parties du corps. Vous pouvez communiquer avec Les Cliniques Marois pour en savoir plus sur les approches de dépistage qui s’offrent à vous.
Les symptômes à surveiller
À ses premiers stades, le cancer de la prostate n’occasionne souvent pas de douleurs ou de symptômes. Mais à mesure que la tumeur se développe, elle exerce une pression grandissante sur la vessie et sur le confluent des voies urinaires, ce qui peut causer des envies d’uriner plus fréquentes et urgentes ou rendre la miction plus difficile.
Tandis qu’il progresse, le cancer peut donner lieu à des douleurs ou à la présence de sang lors de la miction ou de l’éjaculation. Il peut également entraîner un état de fatigue générale et créer de l’inconfort ou des souffrances dans la région du dos, des hanches ou du bassin.
Bien que diverses conditions médicales puissent expliquer ces mêmes symptômes, une consultation auprès de votre médecin ou d’un spécialiste des Cliniques Marois est indiquée dans tous les cas. N’oubliez pas qu’en matière de cancer, le temps est votre allié et la prévention, votre meilleure arme!
