La détresse gagne bien des aînés, conviennent le Centre d’écoute Montérégie et le Centre de prévention du suicide du Haut-Richelieu. À tel point qu’un appel à l’aide sur dix provient d’une personne âgée qui a des idées suicidaires.
«Il ne faut pas attendre que nos parents ou aînés soient très en détresse pour être à l’écoute ou offrir de l’aide. Un pilote n’attend pas que son avion pique du nez avant d’agir», note Nancy Paquette, formatrice au Centre de prévention du suicide du Haut-Richelieu.
Vous pouvez lire l’intégral de cet article dans Le Canada Français, édition du 11 décembre 2014.