Vingt-cinq ans plus tard, Louis-Paul Marin, de Saint-Jean-sur-Richelieu, n’arrive pas à oublier les moments d’horreur qu’il a vécus, le 6 décembre 1989, alors qu’un tueur fou causait la mort de 14 jeunes femmes à l’École Polytechnique de Montréal.Il était là, dans le local B-311, lorsque le tueur s’est enlevé la vie. Dans une entrevue exclusive, il nous livre ses commentaires sur ce triste événement qui l’a marqué à jamais.
Vous pouvez lire l’intégral de cet article dans Le Canada Français, édition du 4 décembre 2014.