CYCLISME. Les patrouilleurs du Comité Pro-Piste ont repris du service afin d’assurer la sécurité des usagers de la Montérégiade, une piste cyclable de 48 km en asphalte et poussière de roche reliant Granby et Saint-Jean-sur-Richelieu.
Ces derniers seront également en mesure de renseigner les cyclistes sur les attraits touristiques de la région et de leur venir en aide en cas de crevaison ou de bris mécanique.
Le service de patrouille sur piste est offert les lundis, jeudis et vendredis, de 9 h à 18 h, de même que les samedis et dimanches, de 8 h à 17 h. Le kiosque d’Info-Vélo, aménagé au marché public de Farnham, est accessible les mêmes jours de 9 h à 17 h. On peut joindre une préposée à l’information au 450 522-5488.
La Sûreté du Québec, le Service de police de Saint-Jean-sur-Richelieu et les municipalités desservies par la Montérégiade (Farnham, Ange-Gardien, Saint-Brigide-d’Iberville, Mont-Saint-Grégoire et Saint-Jean-sur-Richelieu) collaborent également aux activités du Comité Pro-Piste en assurant la surveillance du réseau cyclable ou en offrant à l’organisme un soutien financier.
Nouveautés
Le Comité Pro-Piste entend également profiter du retour de l’été pour entreprendre la construction d’un nouvel abri à la halte des Lions de Farnham. Cette infrastructure avait été rasée par un incendie en 2014.
«La réalisation du projet nécessitera un investissement de l’ordre de 5000$ et est rendue possible grâce à l’appui du fonds des Ambulances Farnham», précise Vincent Barabé, président du Comité Pro-Piste.
L’organisation participe également cette année à la campagne de sensibilisation sur la sécurité à vélo. Il s’agit d’un projet-pilote mis de l’avant par l’Association des réseaux cyclables du Québec, en collaboration avec la Société de l’assurance automobile du Québec.
«Pour les besoins de cette campagne, nous avons installé deux grands panneaux et deux autres de plus petites dimensions qui mettent l’emphase sur quatre règles élémentaires de sécurité. Des consignes que les cyclistes connaissent déjà, mais qu’ils ont parfois tendance à oublier», explique la coordonnatrice de l’organisme, Jo-Annie Larose.
