Inondations de 2011: la Commission mixte à Saint-Jean le 7 novembre

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Par Gilles Berube
Inondations de 2011: la Commission mixte à Saint-Jean le 7 novembre
(Photo : Archives Le Canada Français)

La Commission mixte internationale sur les eaux limitrophes tient une rencontre publique le 7 novembre, à compter de 19 heures, au Pavillon Dextraze, du Collège militaire. Le but est de faire le point sur ses travaux relatifs aux inondations historiques de 2011.

Dans le but de réaliser ce mandat, la Commission a formé le Groupe d’étude international du lac Champlain et la rivière Richelieu. Pour les citoyens, la rencontre sera l’occasion de prendre connaissance des travaux en cours, de s’entretenir avec des experts techniques, de poser des questions et d’échanger des points de vue. Les citoyens intéressés à intervenir le soir de la rencontre sont invités à s’inscrire à l’avance. (Inscrivez-vous ici).

Des informations seront présentées sur les impacts des inondations, les mesures d’atténuation possibles et les nouveaux modéles de prévision. Une nouvelle série de fiches d’information et une animation vidéo du bassin du lac Champlain et de la rivière Richelieu seront également présentées.

Compréhension

«Bien qu’aucune mesure ne puisse éliminer complètement les inondations, il est important de partager les connaissances scientifiques avec le public alors que le groupe d’étude élabore des mesures potentielles pour réduire les impacts des inondations», commente Jean-François Cantin, co-président canadien de l’étude.

Jean-François Cantin, coprésident du Groupe d’étude.

«Nous voulons que les gens comprennent les facteurs qui guident notre travail à ce stade de l’étude et qu’ils nous fassent part de leurs opinions. Ces rencontres sont une bonne occasion pour le public de s’impliquer dans les questions qui, en fin de compte, touchent tous les habitants du bassin», ajoute M. Cantin.

«Un aspect unique de cette étude est que nous intégrons activement les points de vue du public et des leaders communautaires des États-Unis et du Canada, souligne son homologue américain, Keith Robinson. En fin de compte, les recommandations que nous savons acceptables et souhaitables auront plus de chances d’être mises en œuvre. Le public a une voix importante dans ce processus», insiste M. Robinson.

Avant la rencontre, les citoyens sont invités à consulter un aperçu de l’étude à l’adresse https://legacyfiles.ijc.org/tinymce/uploaded/LCRR/vF_FR_LCRR%20Brochure_0318.pdf . Ils peuvent aussi s’abonner aux nouvelles et mises à jour de l’étude.

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