Le Bureau des enquêtes indépendantes (BEI) a déclenché une enquête indépendante sur les circonstances d’une intervention impliquant le Service de police de Saint-Jean-sur-Richelieu.
Le 27 juillet, vers 2h05, un homme aurait communiqué avec le 911 en indiquant qu’il venait de commettre l’irréparable. Les policiers se seraient alors rendus à la résidence de l’homme, située sur la rue du Biat, dans le Domaine Deland.
À leur arrivée sur les lieux, les policiers auraient été confrontés à un homme armé d’un couteau. Des coups de feu auraient été tirés. L’homme impliqué, âgé de 48 ans, aurait été atteint par au moins un projectile. Conduit dans un centre hospitalier, son décès a été constaté.
À l’intérieur de la résidence, les policiers auraient fait la découverte d’une femme et d’un adolescent, tous les deux gravement blessés. Ils ont été transportés en centre hospitalier dans un état grave.
Six enquêteurs du BEI ont été chargés d’enquêter sur les circonstances de l’événement. Conformément au Règlement sur le déroulement des enquêtes du Bureau des enquêtes indépendantes, c’est le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) qui agira également comme service de police de soutien.
Aucune autre information n’est disponible pour le moment. Le BEI demande à quiconque aurait été témoin de cet événement de communiquer avec lui via son site web au www.bei.gouv.qc.ca/nous joindre.
Bravo! Il suffit que celui-là même qui a téléphoné à la police soit muni d’un simple couteau pour qu’on lui tire dessus au point de le tuer. Le blesser aux bras ou aux jambes n’aurait pas été suffisant, mais non! Il semble que cet homme en crise était un ancien policier en plus… C’est ça la solidarité? Il s’agit ici d’un des trop nombreux exemples de l’incapacité notoire des policiers à gérer des personnes en crise. Il existe des spécialistes qui savent comment s’y prendre dans de tels cas… Il est possible de sauver les victimes ainsi que celui qui s’en est pris à elles. Mais non! C’est tellement plus simple de lui tirer dessus sans même chercher à l’empêcher de nuire et ce, tant aux autres qu’à lui-même… Encore une fois : Bravo!
Premièrement, ils ont tenté de l’arrêter avec un pistolet électrique (taser) sans succès. Deuxièmement, il était armée et très agressif. Et pour terminer, il y a tout un lot de vidéos explicatifs sur ce genre de situation qui démontre parfaitement qu’un homme armée d’un pistolet est en DÉSAVANTAGE face à un homme armée d’une arme blanche sur courte distance.
Donc avant de sortir des excuses et explication non fondé et/ou non réfléchi, renseigné vous. Est-ce que c’est un homme en crise qui avait besoin d’aide. Oui. Est-ce qu’il a dépassé la limite où sa vie ou la vie d’autrui a été mise en danger. Oui. Ils ont fait ce qu’ils ont pu, il était déconnecté de sa réalité et a payé les conséquences. Point finale. Au lieu de tenter de jeter des roches sur une personne en stress qui doit mettre sa sécurité en danger pour son travail, regarder plutôt vers le manque de ressources disponibles pour les gens malades, en crise et en grand besoin d’aide. Vous y trouverez probablement votre compte
Mr Lafrenière , Étiez-vous sur place ? Il est facile de juger le travail de policier sans avoir aucune idée de comment c’est déroulée la scène . Selon l’article du journal de Montréal les policiers ont tenté de le maîtriser avec le taser gun sans succès. Encore selon l’article il était aussi très agressif et armé d’un couteau . Allez donc rendre visite au policier et dite leur comment faire leur travail. Encore une fois: Bravo !